Quand Princesse Manon ramène sa fraise!

En ce début de matinée du dimanche 26 mai, il fait un peu frisquet mais le soleil devrait arriver et se mettre à briller.
Manon, la princesse des Dunes de la journée, au grand sourire toujours affiché, est prête pour affronter les 15 kms de sentiers et nous sommes assurés de passer un super moment.

9 heures : l’équipage est au complet et il est temps de se rapprocher de la ligne de départ.
Nous empruntons rapidement plusieurs secteurs pavés (ce n’est pourtant pas ParisRoubaix) et il faut être vigilants pour ne pas déséquilibrer la joëlette.
Ensuite, se succéderont de petits chemins de terre où l’odeur de foin coupé embaume l’atmosphère.
Nous avons fait quelques kilomètres. Il fait maintenant chaud et nous sommes un peu déshydratés. Fort heureusement, nous arrivons à un ravito, à vrai dire quelque peu insolite.
Nous traversons effectivement un petit troquet où il est possible de déguster de la bière aromatisée à la fraise (tradition oblige...nous avons passé la frontière et nous sommes en Belgique!!!)
Le terrain est particulièrement sec mais il y a de nouveaux « Duneurs » et il faudrait penser à les « baptiser ».
Sous l’oeil amusé de Manon, c’est chose faite. En effet, la présence de quelques flaques sur le bas côté d’une route va faire l’affaire du prénommé R....
Les tee­shirts, shorts, visages sont désormais maculés de boue. Mais l’arroseur, pris à son propre piège, sera à son tour arrosé.
Il n’y a pas eu de difficultés techniques jusqu’à présent. Cela va un peu se corser lorsque nous abordons la partie bois du circuit.
Les « musclés » de l’équipe prennent les choses en main et tout se passe à merveille. Nous passons ensuite dans le fort où un alignement de bougies fait office d’éclairage.
Un peu plus loin, nous longeons un étang. Endroit bucolique à souhait, un arrêt photo s’impose.
Si vous l’ignorez, Manon adore caresser les chiens. Aussi,lorsque nous en croisons sur le parcours, nous faisons une pause afin que Manon puisse réaliser son souhait.
Voilà déjà l’arrivée.
Procurer de la joie à Manon, c’était la priorité. Il semble que le pari soit gagné.

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